indiens tupinamba

L’Eglise d’Olivença, dans la capitale des Tupinamba, est une des plus vieilles du Brésil.	Cette communauté regroupe environ 5000 personnes sur un territoire non délimité en bordure de l’Océan Atlantique. Ici, le tourisme balnéaire prend une importance particulière en terme de ressources économiques, du point de vue des nuisances écologiques et de la spéculation foncière. Jusqu’en 1998, les indiens cachaient leur identité, ne serait ce que pour avoir un emploi. Depuis, les luttes s’organisent pour revendiquer leur terre et leur culture
Dans une oca sur la plage d’Olivença.	Le centre culturel récupéré par les indiens abrite le local d’accès à Internet.	Une école, de 800 élèves, adaptée pour l’apprentissage du toré.
La mangrove, avec ses Palétuviers et sa biodiversité, constitue pour les fleuves côtiers, un filtre naturel. La présence des promoteurs immobiliers et des investisseurs dans le tourisme empiète de plus en plus le lieu de vie des indiens et menace gravement cet équilibre fragile. Photos : A la découverte de la mangrove avec Dona Zilda et sa famille.

		Août 2006 : Action de récupération de terre tenue par une trentaine d’indiens depuis deux mois avec le soutien de paysans sans terre locaux. Photos ci-contre : Autour du feu et pratique du toré pendant la retomada.

Les indiens du Nordeste (Brésil)
Pankararu	Tuxa	Tupinamba	Pataxo	Présentation
La campagne de paix des Pataxo Hahahae