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Action anti-OGM du samedi 25 septembre dans la Vienne
<< Page précédente | Conclusion En fin de manifestation, José Bové dresse un bilan de l'action. Il estime que par cette violence sans sommation qui s'est abattu sur les manifestants, le gouvernement de Raffarin a montré son vrai visage : celui d'imposer les OGM et le diktat des sociétés transnationales. Il regrette qu'avec l'annulation d'arrêtés anti-OGM par le tribunal administratif de Bordeaux, les maires n'ont plus aucun recours contre cette forme d'impérialisme biologique. Dans un contexte où la démocratie fout le camp de plus en plus, la désobéissance citoyenne est plus que jamais nécessaire En faisant le bilan des violences des forces de l'ordre, il estime que les actions de fauchage d'OGM ne peuvent plus désormais avoir lieu en plein jour. Il appelle tous les faucheurs volontaires d'OGM à mener des actions clandestinent et signifie qu'à chaque fois qu'une action de ce type aura lieu, l'ensemble des 6000 faucheurs déclarés à travers la France se dénonceront auprès de la gendarmerie. Il explique aussi que ce déploiement de forces de police a plutôt été vain, puisque une des trois parcelles du secteur surveillées ce jour par plus de 500 militaires avait été en partie fauchée dans la nuit. |
![]() José Bové dans son intervention de conclusion |
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![]() Curieuse image que pouvaient voir les manifestants en regagnant leur voiture par la présence de ces CRS bloquant ce pont sur la Vienne un peu en décalage avec cette plaque de rue. |
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