Compte rendu de l'euromanif de Bruxelles du 19 mars 2005 |
|||
Présentation | Droits sociaux | Traité constitutionnel | Participation du Limousin |
Comme un
hiatus sur le Traité constitutionnel (1ère partie)
>>
Voir la 2ème partie << >> Voir la 3ème
partie <<
![]() |
![]() |
Même si François Chérèque de la CFDT a tenté de minimiser l'impact du traité constitutionnel sur les mobilisations, la Confédération Européenne des Syndicats n'a quand même pas fait le plein de ses troupes. L'organisation Force ouvrière s'est même décommandée en reprochant à la CES d'avoir mis sur son site un appel au Oui à la Constitution Européenne ce qui était contraire aux engagements pris pour la manifestation. Cet appel fût quand même retiré du Web après bien des protestations. | |
|
![]() |
Dans toute
la manifestation, la CFDT française s'est retrouvée toute seule à afficher un
"Oui" ostensible porté par quelques centaines de manifestants. Rien à voir
donc avec la mobilisation européenne de Nice en décembre 2000 où la CFDT faisait jeu
égal avec la CGT en dépassant largement le cap des 10000 manifestants. Sans atteindre l'intensité du hiatus politique de Guéret, le hiatus syndical de Bruxelles se percevait quand même à travers une difficulté des partisans du Oui à se mobiliser et à justifier leur position vis à vis des autres militants. |
|
![]() |
![]() |
Qu'ils soient syndicalistes, militants politiques ou
altermondialistes, en dehors des organisations françaises, |
|
![]() |
![]() |