
Contrôle côté français |
Partis le mardi
17 juillet vers 19h15 de la place de la République à Paris, nous arrivions au petit
matin le lendemain près de la frontière italienne où déjà nous subissions un premier
contrôle de la police française au péage de la Turbie. A peine les soutes de l'autocar scrutées, nous repartions vers l'Italie sous
la surveillance bienveillante d'une militante d'Attac 06 qui s'assurait de notre passage
à la frontière sans aucun problème. |

Contrôle côté italien |
Arrivée
à Vintimille, le contrôle s'avèrera nettement plus pointilleux : visite des soutes et
ramassage des papiers d'identité de chacun des passagers pour un contrôle d'identité
qui durera une heure. A noter que la scène s'est effectuée sous la surveillance d'un
piquet d'Attac comprenant journalistes et avocat. Finalement aucune personne n'étant
fichée comme "casseur" nous repartirons sans aucun problème. Durant l'heure passée, les policiers italiens controleront mêmes les soutes
d'un autocar de retraités immatriculé dans le Var.
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La fouille des soutes de notre car |

Gare de Gênes Brignole : trafic nul |
Durant le sommet,
tout a été organisé pour rendre difficile l'arrivée des manifestants : contrôles
pointilleux aux frontières, les deux principales gares de Gênes seront fermées au
trafic tout comme l'aéroport "Léonard de Vinci" ou la gare maritime. |