Sommet du G8 à Gênes - Juillet 2001

Contrôle aux Frontières

Contrôle aux frontières

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Contrôle côté français

Partis le mardi 17 juillet vers 19h15 de la place de la République à Paris, nous arrivions au petit matin le lendemain près de la frontière italienne où déjà nous subissions un premier contrôle de la police française au péage de la Turbie.

A peine les soutes de l'autocar scrutées, nous repartions vers l'Italie sous la surveillance bienveillante d'une militante d'Attac 06 qui s'assurait de notre passage à la frontière sans aucun problème.

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Contrôle côté italien

Arrivée à Vintimille, le contrôle s'avèrera nettement plus pointilleux : visite des soutes et ramassage des papiers d'identité de chacun des passagers pour un contrôle d'identité qui durera une heure. A noter que la scène s'est effectuée sous la surveillance d'un piquet d'Attac comprenant journalistes et avocat. Finalement aucune personne n'étant fichée comme "casseur" nous repartirons sans aucun problème.

Durant l'heure passée, les policiers italiens controleront mêmes les soutes d'un autocar de retraités immatriculé dans le Var.

 

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La fouille des soutes de notre car

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Gare de Gênes Brignole : trafic nul

Durant le sommet, tout a été organisé pour rendre difficile l'arrivée des manifestants : contrôles pointilleux aux frontières, les deux principales gares de Gênes seront fermées au trafic  tout comme l'aéroport "Léonard de Vinci" ou la gare maritime.

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Le mur de la honte
Le Forum social de Gênes en marge du G8
Solidarité avec les migrants
L'encerclement pacifique de la zone rouge
A l'origine des incidents
Une ville en état de guerre
Une manifestation monstre
La répression policière
Genova loft
Attac à Gênes
Conclusion et perspectives
Les évènements de Gênes vus par les médias alternatifs
Introduction
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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